Saint Eloi de Maillane

Pèr pousqué dire un an de la vido de la Counfrarié en quàuqui mot e quàuqui fotò, fau ana vite e assaja de rèn óublida. Aussi prendren li causo à-de-rèng e atacaren pèr lou lotò de la debuto de janvié mounte avèn agu lou plesi de retrouva à l’entour di baloto e dóu barbaié lis ami de sant Aloi. E pièi vaqui qu’à la fin dóu mes de febrié, marrido nouvello pèr nosto Counfrarié : noste clavaire, e subretout noste ami Robert Bonhomme defuntavo, pecaire, en seguido d’uno intervencioun (...)

Maiano...
La charrette maillanaise courait déjà il y a un siècle et demi. Mistral en parle dans son ouvrage "Mémoires et récits".
La Carreto Maianenco est constituée de branches d’ormeaux. La raison en est simple, cette essence ne produit rien et peut donc être coupée, et le terroir en était plein il y a de celà un siècle.
Aujourd’hui les choses ont bien changé et il devient difficile de trouver de belles branches d’ormeau sur le territoire du village. Une maladie et des parasites (...)

Un orage en invité indésirable a trempé le sable des virages durant la messe.
Pas assez pour empêcher la charrette 2008 de faire sa course devant un public venu nombreux la voir traverser le village au pas de course...

Les essais de la charrette de Maillane sont effectués dans les rues du village la veille de la course.
Des essais sous un grand soleil, devant un public averti.

2007 Sophie et Benoît Moucadel Camille et Stéphane Sicard 2006 2005 Carine et Richard Didier Céline et Cédric Simian 2004 Eve et David Crouzet Sandra et Ghislain Rachet 2003 Céline et Jérémy Lançon Anne et Eric Lecoffre

Comme chaque année, la ronde des Carreto Ramado est passée par Maillane, après Rognonas et avant Graveson.
Beaucoup de monde est venu assister à cette course de la charette 2005. Comme l’année dernière, la charette était composée de 18 chevaux, . En effet, si la ville de Maillane a vu jadis des courses de charettes de plus de 30 chevaux . Il s’agissait d’un temps où les hommes étaient moins alertes, chaussés autrement, et leurs chevaux étaient harassés de longues journées aux champs. (...)